78 %

C’est la proportion des Français·e·s qui pensent que la loi de 2016 « est une bonne chose ». C’est un sondage Ipsos réalisé en 2019 qui le constate. Le chiffre est même de 82 % chez les jeunes. 71% se montrent hostiles à son abrogation. Seuls 4% considèrent qu’abroger la loi de 2016 est la réponse la plus efficace.

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Le système prostitutionnel prospère avec l’aide d’organisations nationales et internationales favorables à la légalisation de la prostitution. Niant la prostitution comme violence faites aux femmes, ils inversent les enjeux en clamant : « la loi tue, les clients protègent… ».

Un syndicat en trompe l’œil

Le Strass, autoproclamé « Syndicat du travail sexuel » est en réalité une association loi 1901. Il est signataire de la charte du Global Network of Sex Work Project (NSWP), lobby mondial  du système prostitutionnel qui inclut, sous le vocable « travailleurs du sexe », des prostitué·es et surtout des « intermédiaires » et des « managers », autrement dit des proxénètes.

Presse patriarcale complaisante

Alors que plus de 3 Françaises sur 4 sont favorables à la loi, de nombreux médias priorisent la parole des opposants au modèle abolitionniste. Sous prétexte de « liberté de choix », en donnant de l’écho aux expressions « métier », « travailleurs-euses du sexe », ils participent eux-aussi à une normalisation de la prostitution et des violences faites aux femmes.

La voie juridique.

Après avoir été déboutées par le Conseil Constitutionnel de leur Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) contre la loi de 2016, intentée au motif que celle-ci entraverait la « liberté d’entreprendre », les mêmes associations ont déplacé fin 2019 leur action judiciaire vers la Cour européenne des Droits de l’Homme (CEDH), reprochant à la loi de « mettre en danger » les  personnes en situation de prostitution.